lundi 21 septembre 2009

Fête de la nature à TRETS: Septembre 2009

Rendez-vous à la fête de la nature à Trets les 25/26/27 Septembre 2009 pour la deuxième année consécutive.

Tout le programme sur : http://tretsetsanature.canalblog.com/
et ici : http://trets.free.fr/actu/lesbrevesdactuSEULE.php?id=247

Séance exceptionnelle au Cinéma Casino du film "Nos enfants nous accuseront" suivi d'un débat avec le réalisateur Jean-Paul Jaud, parrain de la fête de la nature.

Entrée 2 € sur réservation à la maison de la culture et du tourisme

Contact : 04 42 61 23 75

Itinéraire d'accès pour les journées du 26 et 27 Septembre:

La Fête se tiendra sur le magnifique domaine privé de la Malbarate (sur la route de Puyloubier), sur les bords de l'Arc (rivière qui prend sa source entre Pourcieux et Saint Maximin et traverse la commune de Trets sur 6 kms environ).

De Marseille : direction Gardanne, Gardanne Trets ; dans Trets ne pas suivre centre ville mais Saint Maximin. 2ème rond point à gauche, direction Puyloubier. Suivre la route, le lieu sera indiqué sur la droite.

De Saint -Maximin : Saint Maximin -Aix en provence. Ne prenez pas la première sortie Trets au rond point de Pourrières.

Prendre la seconde sortie Trets à gauche (à droite c'est direction Puyloubier).

D'Aubagne : Direction Trets. Trets-Saint Maximin/Puyloubier. vous vous retrouverez devant le Carrefour prendre à droite. Au rond point à gauche, direction Puyloubier.

Tout sera fléché à partir des entrées de Trets.

dimanche 20 septembre 2009

samedi 19 septembre 2009

Crise du lait : François Bayrou dans l'Orne, à l'écoute des producteurs.

François Bayrou dans l'Orne François Bayrou dans l'Orne

François Bayrou, Président du Mouvement Démocrate, s'est rendu ce vendredi matin à la ferme des Nouettes à Aube dans l'Orne, à l'invitation de Jean Marie Vercruysse, agriculteur et président des maires ruraux du département.

Une occasion privilégiée de s'entretenir longuement avec les producteurs de lait du secteur sur la crise profonde qui les frappe.

À l'issue de ce long échange avec les professionnels, François Bayrou a réaffirmé sa solidarité avec les producteurs laitiers, en demandant de "changer de politique", et en rappelant la nécessité impérative de régulation et d'organisation de la production. (lire la suite)

Il a ajouté encore : "Le sens de cette visite était de manifester de la solidarité avec un secteur agricole qui vit aujourd'hui un drame".

"La preuve est faite que la dérégulation dans ce secteur d'activité, c'est la mort de l'agriculture parce qu'elle ne peut pas supporter les à-coups de marché qui font que les prix s'effondrent", a estimé le député des Pyrénées-Atlantiques.

"Il n'y a qu'une solution possible : l'organisation de la production", a-t-il assuré, jugeant que "l'abandon des quotas laitiers est une catastrophe".

La grève du lait est "un mouvement européen, un mouvement qui appelle à une prise de conscience de l'urgence de la situation. Il faut changer de politique pour sauver quelque chose qui est infiniment précieux pour la France", a encore rappelé François Bayrou, soulignant que le déversement de milliers de litres de lait était un "crève-coeur" pour les agriculteurs.

Alors que "les prix du lait ne couvrent pas le coût de revient", les producteurs "sont désespérés et ne voient plus d'avenir pour beaucoup d'entre eux", a-t-il conclu.


mercredi 16 septembre 2009

Loubna , un symbole de liberté au Soudan

Loubna Ahmed al-Hussein en pantalon

Loubna Ahmed al-Hussein en pantalon

Je voudrais aujourd’hui rendre hommage à Loubna Ahmed al-Hussein, journaliste soudanaise, condamnée par la cour de Khartoum en première instance à verser une amende de 200 $ ou à subir une peine d’un mois de détention pour avoir osé porter « une tenue indécente » : un simple pantalon !

Au travers de cet acte qui nous semble si anodin, Loubna Ahmed-Hussein se bat pour le droit des femmes dans son pays. En effet, elle aurait pu profiter de l’immunité diplomatique puisqu’elle était en mission des Nations unies au Soudan (Unmis). Mais elle a préféré quitter cet emploi et faire de son procès un acte fort et symbolique.

Il est aujourd’hui inacceptable que certains pays continuent à condamner des hommes et des femmes au prétexte d’atteinte aux bonnes moeurs et continuent d’infliger à l’encontre de la Convention des Nations unies des tortures et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Si vous voulez soutenir cette femme et suivre son combat, je vous invite à vous rendre sur son site :
http://iamlubna.com/index.html

Lubna Hussein

mardi 15 septembre 2009

Au moins cinq milliards d'euros pour sauver le fret

La plate-forme de tri des wagons de fret à Villeneuve-Saint-Georges. L'ambition du gouvernement est de favoriser le report du transport de marchandises des camions vers les trains.
La plate-forme de tri des wagons de fret à Villeneuve-Saint-Georges. L'ambition du gouvernement est de favoriser le report du transport de marchandises des camions vers les trains. Crédits photo : Le Figaro

INFO LE FIGARO - Le plan Fret d'avenir qui devrait être annoncé demain mercredi pourrait être financé par le grand emprunt national.

Depuis une semaine, les réunions se sont multipliées à l'Élysée ainsi qu'au ministère de l'Écologie et du Développement durable qui chapeaute les transports. Selon nos informations, le gouvernement devrait annoncer demain un plan de 5 milliards d'euros qui seront consacrés au développement du transport ferroviaire de marchandises. Hier encore, les négociations se poursuivaient entre la SNCF, Réseau ferré de France (l'établissement public propriétaire des voies) et le ministère de l'Écologie. Les derniers arbitrages seront pris aujourd'hui. 5 milliards d'euros, peut-être plus. Hier, des sources proches du dossier n'excluaient pas que l'enveloppe soit finalement de 7 milliards.

Ce grand plan, qui se situe dans le droit-fil du Grenelle de l'environnement, devrait être baptisé Fret d'avenir. L'ambition du gouvernement est de favoriser le report du transport de marchandises des camions vers les trains. Ce report « modal », selon le jargon technique, la SNCF n'a jamais su le réaliser. Aujourd'hui, seulement 14 % du fret sont transportés par train.

« Attention, avertit une source gouvernementale, ce plan ne va pas renflouer les comptes de la SNCF mais développer les infrastructures indispensables à la modernisation du fret. » Le plan Fret d'avenir n'a donc pas vocation à combler les déficits (600 millions d'euros cette année) que la SNCF accumule dans le transport de marchandises.

Le développement du fret ferroviaire figurait dans la lettre de mission de Guillaume Pepy lorsqu'il a été nommé PDG de la SNCF en 2008. Le plan Fret d'avenir en est la suite logique. Guillaume Pepy l'a préparé cet été dans le plus grand secret. Il l'a ensuite défendu auprès du gouvernement. « Je joue une partie de mon mandat sur ce sujet », rappelle l'intéressé.

Selon nos informations, ce vaste programme devrait être financé par le grand emprunt national annoncé au printemps par Nicolas Sarkozy. Guillaume Pepy ferait en tout cas tout pour que la SNCF ait elle aussi sa part. « Sous le regard attentif de Bruxelles, la SNCF n'aura pas un centime, explique un proche du dossier. La plupart des investissements seront des projets d'infrastructures. »

Des TGV pour le fret

Le fret, qui jusqu'à présent était un boulet pour la SNCF, devient un enjeu national. « Ce sera un changement comparable au passage du train Corail au TGV il y a trente ans », explique un cadre de la SNCF. Les mesures envisagées seront aussi spectaculaires que celles annoncées l'an dernier dans le cadre du plan de relance de l'économie. Celui-ci consacre 1,45 milliard d'euros au développement de quatre lignes TGV d'ici à 2015. Cette fois-ci, ce sont 5 à 7 milliards d'euros qui seront consacrés à quatre projets : les autoroutes ferroviaires, les TGV de transport de marchandises, l'alliance du train et des cargos et la création d'entreprises locales de fret (lire encadré ci-contre). Aucun de ces services n'existe encore à grande échelle en France. Le soutien de l'État, via Réseau ferré de France qui sera en charge des travaux, permettra de construire les infrastructures nécessaires. Les ports seront ainsi aménagés pour que les marchandises soient débarquées dans des trains et non sur des camions. Des lignes réservées aux trains de fret seront construites.

Source: le Figaro.fr